Punition paternelle
Punition paternelle
Pour Maman je suis la merveille,
Mais c’est mon père qui surveille
Et vérifie, comme il se doit,
Quand mon travail je ne fais pas.
Il arrive qu’il me châtie.
Il lui faut courage et mérite,
Quand me reprochant ma conduite,
De lui punition je subis.
Quelques larmes mouillent mes joues
Quand il me fesse, je l’avoue.
Mais c’est un juste châtiment.
Papa, tu n’aimes pas punir.
Mais quelquefois tu dois sévir.
Merci beaucoup de m’aimer tant !
Par Papy (Adapté d’une poésie de Jacky)
Illustr. Arkham-Insanity
2 commentaires »
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A la merveille de sa maman : quel bonheur! Nous voilà deux à rimer ! Moi, vous m’inspirez pour le prochain poème, le contraire : Papa plus de fessées. Il faudra que vous repreniez car ma muse me déleste Elle batifole ailleurs (Pas à cause des méchants députés,là elle s’était cachée ? )Oh mais dites donc, ce n’est pas vous qui me l’avez prise ?
Pour le cercle restreint des poètes de la fessée .
Les châtiments corporels ont toujours fait partie intégrante de mon éducation chez nous et au collège. La fessée déculottée surtout a toujours été « ma plus fidèle compagne » jusque fort tard dans ma jeunesse. L’une d’elles, reçue de mon père à 18 ans alors que j’étais en Philo-Lettres au collège, me laisse un souvenir particulièrement « mémorable ». J’aimerais en donner la raison et préciser les circonstances prochainement sur ce blog.